PRINCIPES ACTIFS | QUANTITE |
Oxybuprocaïne chlorhydrate | 1,6 mg |
EXCIPIENTS |
Sodium chlorure |
Sodium hydroxyde |
Chlorhydrique acide |
Eau pour préparations injectables |
Collyre en récipient unidose. |
Anesthésie locale : · tonométrie, · examens par verre de contact, · extraction des corps étrangers superficiels de la cornée et de la conjonctive, · tout geste nécessitant une anesthésie locale de la cornée et de la conjonctive. |
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Mode d'administration Voie locale. EN INSTILLATION OCULAIRE. 1 à 2 gouttes de collyre, une à deux minutes avant l'examen ou l'intervention. Instiller 1 à 2 gouttes de collyre dans le cul de sac conjonctival inférieur de l'oeil ou des yeux malade(s) en regardant vers le haut et en tirant légèrement la paupière inférieure vers le bas. Une seule instillation suffit à assurer une anesthésie cornéo-conjonctivale d'une dizaine de minutes. Pour obtenir une anesthésie plus profonde ou plus prolongée, répéter l'opération 3 à 5 fois à une minute d'intervalle. Ne pas toucher l'oeil ou les paupières avec l'unidose. Après utilisation, jeter l'unidose. |
Contre-indiqué dans les cas suivants :
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Mises en garde spéciales Ne pas injecter, ne pas avaler. Le collyre ne doit pas être administré : · en injection péri- ou intraoculaire, · chez les jeunes enfants, · de façon concomitante avec toute solution contenant de l'hypochlorite de sodium (voir rubrique Incompatibilités Incompatibilités) en raison d'une dégradation totale du principe actif entrainant une perte d'efficacité du chlorhydrate d'oxybuprocaïne. Ce collyre, ne doit pas faire l'objet d'un usage répété ou prolongé (notamment comme antalgique), de même il est impératif de respecter les posologies recommandées car : · des opacifications cornéennes et un retard de cicatrisation des plaies peuvent survenir, · en raison de son activité anesthésique locale qui atténue la douleur, le produit est susceptible d'entraîner de graves lésions oculaires en particulier cornéennes. Précautions particulières d'emploi En raison du risque d'altération de l'épithélium cornéen, lié à la présence d'un anesthésique local, il convient de veiller à l'absence de pénétration du collyre à l'intérieur de la chambre antérieure de l'oeil. En ophtalmologie, qu'ils soient employés seuls ou associés, les anesthésiques locaux font tous courir, même à faible concentration, un risque d'altération de l'épithélium cornéen. Il est impératif de toujours leur préférer comme antalgique, les analgésiques généraux. L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif (anesthésique local) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. |
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Les données disponibles à ce jour ne laissent pas supposer l'existence d'interactions cliniquement significatives. |
Grossesse Il n'y a pas de données fiables de tératogénèse chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour pouvoir exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement En raison de l'absence de données concernant le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce collyre ne doit être envisagée qu'en cas de nécessité et en suspendant l'allaitement. |
· Quelques collapsus avec bradycardie ont été exceptionnellement rapportés. · Une sensation transitoire de picotement ou une irritation peuvent survenir à l'instillation. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr. |
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Un usage répété et prolongé expose à un risque de lésions graves oculaires en particulier cornéennes. |
Classe pharmacothérapeutique : ANESTHESIQUE LOCAL/OPHTALMOLOGIE, code ATC : S01HA02. Anesthésique local dérivé de l'acide para-aminobenzoïque. |
Ophtalmologie Anesthésiques ophtalmiques Anesthésiques ophtalmiques non associés Oxybuprocaïne |
S - Organes sensoriels S01 - Médicaments ophtalmologiques S01H - Anesthésiques locaux S01HA - Anesthésiques locaux S01HA02 - Oxybuprocaïne |
Durée de conservation : Précautions particulières de conservation : |
Pas d'exigences particulières. |
Liste I. Médicament réservé à l'usage professionnel des ophtalmologistes. |
NE PAS conduire de véhicules ou
utiliser de machines en cas de vision trouble suite à l'administration
de ce médicament, et ce jusqu'à disparition totale de la gêne visuelle. SPORTIF: l'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif (anesthésique local) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. |
Code CIP7 | 3657686 |
Code CIP13 | 3400936576865 (Code 13 référent) |
Code UCD7 | 9160521 |
Code UCD13 | 3400891605211 |
Code CIS | 68503549 |
Médicament T2A | Non |
Laboratoire titulaire AMM | THEA (THEA PHARMA) |
Laboratoire exploitant | THEA (THEA PHARMA) 37 rue Georges Besse 63100 CLERMONT FERRAND Tel : 0 808 800 100 Fax : 00 377 97 77 72 70 Mail : contact@laboratoires-thea.fr Site Web : https://www.theapharma.fr/ |
Prix de vente TTC | Prix libre |
Taux de TVA | 2.1 % |
Base de remboursement SS | Non remboursé |
Taux SS | 0 % |
Code Acte pharmacie | PHN |
Médicament d'exception | Non |
Agrément collectivités | Oui |
Liste | Liste I |
Statut | Médicament - AMM |
Date AMM | 23/03/1993 |
Rectificatif d'AMM | 11/01/2019 |
Marque | Oxybuprocaïne |
Gamme | Sans gamme |